Qu'il s'agisse d'agriculture ou de maison connectée, «ce sont surtout les géants de la tech (du numérique, ndlr) qui vont se positionner sur l'agrégation de données issues des objets connectés», a expliqué Nathalie Doré, directrice générale de l'Atelier BNP Paribas (cellule de veille technologique), lors du salon de startups Viva Technologies, à Paris, le 1er juillet. Elle y présentait une étude sur l'agriculture connectée aux États-Unis. Selon elle, l'un des freins au développement de l'agriculture connectée est la «dispersion» de l'offre: «chaque startup vient avec sa solution, qui elle a sa propre interface, explique Nathalie Doré. Si bien que certaines grosses fermes américaines possèdent jusqu'à six écrans».